Personnalité bien en vue à Saint-Jérôme dès la fin des années 1950 et jusqu’à aujourd’hui, Jean Mercier refait le parcours d’une vie bien remplie sur la scène économique, sociale et sportive jérômienne.
D’abord destiné au métier d’horloger-bijoutier, comme son père, il a finalement œuvré dans le domaine de l’excavation après que le paternel se soit lui-même lancé dans le domaine.
Il s’occupait de la gestion de l’entreprise, surtout après le décès de son père en 1965. Une fusion malheureuse avec une autre compagnie locale d’excavation à la fin des années 1970, aboutira finalement à la fin de cette aventure.
Entre-temps, Jean Mercier aura eu l’occasion de se démarquer en s’impliquant dans le club de « patinage de fantaisie » de Saint-Jérôme, dès sa fondation dans les années 1950.
Avec son épouse Johanne Martin et, plus tard, leurs deux filles, il a consacré beaucoup d’énergie à cette organisation sportive devenue le Club de Patinage Artistique de Saint-Jérôme. L’une de ses filles, Karine, en est d’ailleurs toujours l’une des entraîneuses.
Le mouvement Optimiste est un autre aspect important de la vie de Jean Mercier, qui fut l’un des fondateurs du club de Saint-Jérôme et le second président en 1969. Toujours impliqué dans cette organisation d’aide à la jeunesse, il profite de l’entrevue pour offrir une visite exhaustive du Pavillon de l’Amitié, le local qu’occupe le club Optimiste jérômien depuis 1987 dans l’ancienne résidence patrimoniale qui avait auparavant abrité la bibliothèque municipale, sur la rue Laviolette.
Bonne écoute!
Un segment plus court à propos du Pavillon de l’Amitié, la maison des Optimistes de Saint-Jérôme